★★★★☆
60 minutes
3-5 joueurs
Pour réserver, choisissez le jour de votre venue, le créneau horaire souhaité, le nombre de joueurs, et laissez-vous guider. Les disponibilités sont mises à jour en temps réel dans le calendrier !
C’est l’heure d’une plongée 20 000 lieues sous la mer… Au cours de cet escape game, vous serez envoyé en 1901, à la rencontre du Capitaine Némo, le fier propriétaire du Nautilus… qui semble avoir besoin de votre aide !
En effet, chez Time Corp, nous avons reçu un message très inquiétant : le légendaire sous-marin décrit par Jules Verne est en péril. Bloqué au milieu de la Seine, il n’avance plus et nous restons malheureusement sans nouvelles de l’équipage. Voilà un mystère bien intriguant, qu’est-ce qui a bien pu terrasser un capitaine de la trempe de Némo ?
Impossible d’en savoir plus, la communication a été coupée… Tout ce dont nous sommes sûrs, c’est que quelque chose ne tourne pas rond, et qu’une activité étrange règne autour de l’engin.
Si vous acceptez cette affaire, il faudra vous rendre sur place et déambuler dans les somptueuses cabines et l’impressionnante salle des machines du Nautilus pour comprendre ce qui s’y trame. Vous devrez apprendre à agir en équipe pour réussir à dompter la machinerie du lieu !
L’un de nos meilleurs agents, Zelda McKenzie, semble déjà avoir rencontré des difficultés sur place, si vous la retrouvez, elle pourra certainement vous prêter main forte.
Mais attention, un sous-marin aussi mythique cache forcément des secrets ! Et le Capitaine Némo n’est pas connu pour les révéler facilement…
Pour mener à bien cette mission, vous aurez besoin d’une équipe de 3 à 5 volontaires vaillants et dégourdis… Les agents de Time Corp se chargeront de vous briefer et de vous envoyer directement en 1901. Si vous êtes familier avec le monde sous-marin, cela pourrait être un plus pour votre aventure, sinon… mieux vaut ne pas penser à ce que vous trouverez sur place.
Préparez-vous à être secoués, vous avez 60 minutes dans l’escape room pour aider Time Corp à sauver le Nautilus. Et comme le dit si bien le Capitaine Némo : Mobilis in mobili !